Weland connut amèrement l’exil,
le vaillant comte souffrit de la peine,
il eut pour compagnons le chagrin et le désir,
des courses errantes par froid hivernal ; souvent il endura malheur,
après que Nithhad l’eut lié par la nécessité,
eut coupé les tendons de l’homme meilleur que lui.
Cela, il le surmonta...