I
J’ADORE ta Beauté, pour ce qu’elle est pareille
A mon Rêve immortel et me parle des cieux,
Comme un hymne lointain qui chante à mon oreille.
Elle évoque les jours longs et délicieux
Que j’ai vécus, sans doute, en attendant la vie,
Dans quelque monde obscur où mon cœur soucieux
Cherche éternellement l’illusion ravie.
C’est ce lent...