Désormais que ma Muse, aussi bien que mes jours, 
Touche de son déclin l'inévitable cours, 
Et que de ma raison le flambeau va s'éteindre, 
Irai-je en consumer les restes à me plaindre, 
Et, prodigue d'un temps par la Parque attendu, 
Le perdre à regretter celui que j'ai perdu ? 
Si le Ciel me réserve encor quelque étincelle 
Du feu dont je brillais en ma...
