Si vif luit le caillou qu’on dirait des sardoines ;
L’été touffu s’enchevêtre dans les fourrés ;
La fleur écoute, au bord des longs chemins dorés,
La fragile chanson du vent dans les avoines.
On coupe, à tour de bras,
Les seigles déjà mûrs et les orges là-bas ;
Des troupes de pigeons volent de chaume en chaume ;
La...