• Plus mille fois que nul or terrien,
    J'aime ce front où mon tyran se joue
    Et le vermeil de cette belle joue,
    Qui fait honteux le pourpre Tyrien.

    Toutes beautés à mes yeux ne sont rien,
    Au prix du sein qui lentement secoue
    Son gorgerin, sous qui doucement noue
    Un petit flot que Vénus dirait sien.

    Ne plus, ne moins, que Jupiter est aise,
    ...