• J'ai vu mes tristes journées
    Décliner vers leur penchant ;
    Au midi de mes années
    Je touchais à mon couchant :
    La Mort, déployant ses ailes,
    Couvrait d'ombres éternelles
    La clarté dont je jouis ;
    Et, dans cette nuit funeste,
    Je cherchais en vain le reste
    De mes jours évanouis.

    Grand Dieu, votre main réclame
    Les dons que j'en...