[50] An Byron.
1843.
Held meine ersten träumerischen Lieder,
Idol dem einstens sich mein Herz geweiht,
Wie damals tret ich vor dein Antlitz wieder
Und schau Dich an Du Sohn der neuen Zeit!
5 Und schau...
[50] An Byron.
1843.
Held meine ersten träumerischen Lieder,
Idol dem einstens sich mein Herz geweiht,
Wie damals tret ich vor dein Antlitz wieder
Und schau Dich an Du Sohn der neuen Zeit!
5 Und schau...
Sobre la frágil onda iluminada
por el radiante sol, surca ligera
del bardo inglés la góndola dorada
desplegando a los aires su bandera.
De pie en la popa; la apolina frente,
bañada en rayos, la mirada inquieta
tendida por el mar resplandeciente,
boga triunfante el inmortal poeta.
Desde los cincelados miradores
las...
Toi que déjà nos chants vont chercher dans les cieux,
Toi que la Grèce en deuil ajoute à tous ses dieux,
Astre sitôt perdu, dont la trace enflammée
Ne laisse pas au monde une vaine fumée,
Byron, daigne inspirer ces funèbres adieux.
Il est beau de mourir pour une cause sainte,...
...
Il est doux de raser en gondole la vague
Des lagunes, le soir, au bord de l’horizon
Quand la lune élargit son disque pâle et vague,
Et que du marinier l’écho dit la chanson ;
II est doux d’observer l’étoile qui rayonne,
Paillette d’or cousue au dais du firmament,
L’étoile qu’une blanche auréole environne,
Et qui dans le ciel clair s’avance lentement...
Non, tu n’es pas un aigle, ont crié les serpens,
Quand son vol faible encor trompait sa jeune audace :
Et déjà sur le dos de ces monstres rampans
Du bec vengeur de l’aigle il imprimait la trace ;
Puis, le front dans les cieux de lumière inondés,
Les yeux sur le soleil, les ongles sur la foudre,
Il dit à ces serpens qui sifflaient dans la poudre :...
The grass of fifty Aprils hath waved green
Above the spent heart, the Olympian head,
The hands crost idly, the shut eyes unseen,
Unseeing, the locked lips whose song hath fled;
Yet mystic-lived, like some rich, tropic flower,
His fame puts forth fresh blossoms hour by hour;
Wide spread the laden branches dropping dew
On the low,...
From “The Course of Time,” Book IV.
HE touched his harp, and nations heard entranced,
As some vast river of unfailing source,
Rapid, exhaustless, deep, his numbers flowed,
And openèd new fountains in the human heart.
Where Fancy halted, weary in her flight,
In other men, his fresh as morning rose,
And soared untrodden heights, and seemed...
Élégie
Par mon amour et ma constance,
J'avais cru fléchir ta rigueur,
Et le souffle de l'espérance
Avait pénétré dans mon coeur ;
Mais le temps, qu'en vain je prolonge,
M'a découvert la vérité,
L'espérance a fui comme un songe...
Et mon amour seul m'est resté !
Il est resté comme un abîme
Entre ma vie et le bonheur,
Comme un...
[A SCHOOL COMPOSITION.]
On what sweet shore the blue AEgean laves,
Where loveliness is wedded to decay, --
Beauty to desolation, -- 'mid the graves
Of an immortal race, and ruins, gray
With the dim veil of years, a sleeper lay; --...