J’AI vainement lutté contre ton charme, Automne :
A ton impérieux attrait je m’abandonne.
J’ai cru que je n’avais qu’à te fermer mon cœur
Pour me soustraire au doux péril de ta langueur,
Mais ta beauté sereine à jamais me possède,
Et pareil à la feuille au vent puissant, je cède…
Je ne puis pas ne pas t’aimer sans repentir !
Je ne puis pas ne...