Oeil éloigné du Jour, qui te recrée,
Comme, en l'obscur d'une nuée épaisse
Peux-tu tirer une si vive espèce
D'un corps, non corps, qui vainement se crée ?
Coeur martelé, quelle Éride est entrée
Dedans ton fort ? quelle pâle crainte est-ce,
Qui d'engendrer ta ruine te presse,
Et d'allaiter la fère de Matrée ?
Tourne avec moi, tourne avec...