• Laisse couler mes pleurs tendres sur ton visage.
    Bois-les, je suis ta soeur humaine dans la vie,
    Le sang coule en ma chair pour être ta pâture
    Et l'amour de la créature
    M'a pour jamais vers toi, ô mon frère, inclinée.
    Quel intime frisson de chair nous réunit,
    Quelle nudité d'âme et de chair nous assemble,
    Ô toi seul devant qui je demeure plus nue...