• (Fragment)

    Quand j'aurai bien souffert de mon âme muette
    Qui contenait le rythme et les rayons humains,
    Sans l'avoir jamais vue, en des planches secrètes,
    Des hommes la cloueront, ironique destin !

    Car ce que j'ai chanté n'est encor que silence,
    Et mon coeur et mes yeux, mon élan contenu,
    À travers la torpeur de la matière immense,
    ...