Vos attraits n'ont plus rien que l'épée et la cape ;
Votre esprit est plus plat qu'un pied de pèlerin ;
Vous pleurez plus d'onguent que n'en fait Tabarin,
Et qui voit votre nez le prend pour une grappe.
Vous avez le museau d'un vieux limier qui lape,
L'oeil d'un cochon rôti, le poil d'un loup marin,
La chair d'un aloyau lardé de romarin,
Et l'...