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    QUAND les printemps m’étaient joyeux
    Prenant leur azur à tes yeux
    Pleins d’une éternelle promesse,
    Les clochettes des lilas blancs,
    Dans la brise, à nos cœurs tremblants
    Chantaient une amoureuse messe.

    Des alléluias infinis
    Montaient des buissons pleins de nids,
    Et le cœur odorant des roses
    Se balançait dans l’air du soir
    ...