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    Oh ! quel farouche bruit font dans le crépuscule
    Les chênes qu’on abat pour le bûcher d’Hercule !
    VICTOR HUGO.

    Le bûcher dressé là pour ce nouvel Hercule,
    Emplit l’horizon rouge et le ciel empourpré ;
    Et la nuit s’illumine et tout entière brûle
    A l’ardente splendeur de ce couchant sacré.

    Au brasier fraternel où se tordent...