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    Quand je reviens joyeux dans ma belle Bretagne
    Au sortir de Paris, de ce triste Paris,
    Où l’on ne voit ni mer, ni forêts, ni montagne,
    Où l’on traîne des jours ennuyés et flétris ;
    Quand j’ai passé le seuil, quand j’ai franchi l’entrée
    De la noire maison gothique et retirée,
    Et qu’un instant après je tombe dans les bras
    De mes deux bien-aimés...