• De la douceur, de la douceur, de la douceur !
    Calme un peu ces transports fébriles, ma charmante.
    Même au fort du déduit, parfois, vois-tu, l’amante
    Doit avoir l’abandon paisible de la sœur.

    Sois langoureuse, fais ta caresse endormante,
    Bien égaux tes soupirs et ton regard berceur.
    Va, l’étreinte jalouse et le spasme obsesseur
    Ne valent pas un long...