La tristesse est rêveuse, et je rêve souvent ;
La nature m’y porte, on la trompe avec peine :
Je rêve au bruit de l’eau qui se promène,
Au murmure du saule agité par le vent.
J’écoute : un souvenir répond à ma tristesse ;
Un autre souvenir s’éveille dans mon...
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Il m’aima. C’est alors que sa voix adorée |
Qu’a-t-on fait du bocage où rêva mon enfance ? |
D’une main timide C’est un pauvre frère Mais sa mule alerte |
Quelle soirée ! ô dieu ! que j’ai souffert ! Dans la foule cent fois j’ai cru t’apercevoir ; |
Regarde : plus de feux, plus de bruit. Tout se tait. |
LA FEMME. Nous n’avons plus d’argent pour enterrer nos morts. Le meurtre se fait roi. Le vainqueur... |
Ah, la danse ! La danse Accourez, le temps vole, Sous la lune étoilée |
Il est des maux sans nom, dont la morne amertume |
Il est deux Amitiés comme il est deux Amours. |