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    Toi qui du jour mourant consoles la nature,
    Parais, flambeau des nuits, lève-toi dans les cieux;
    Etends autour de moi, sur la pâle verdure,
    Les douteuses clartés d’un jour mystérieux!
    Tous les infortunés chérissent ta lumière;
    L’éclat brillant du jour repousse leurs douleurs :
    Aux regards du soleil ils ferment leur paupière,
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  • Toi qui du jour mourant consoles la nature,
    Parais, flambeau des nuits, lève-toi dans les cieux;
    Etends autour de moi, sur la pâle verdure,
    Les douteuses clartés d'un jour mystérieux!
    Tous les infortunés chérissent ta lumière;
    L'éclat brillant du jour repousse leurs douleurs :
    Aux regards du soleil ils ferment leur paupière,
    Et rouvrent devant toi leurs yeux...