Il dort, le blanc vieillard, dans son manteau vermeil ;
L’Abeille de Sagesse à ses lèvres murmure.
Guerrier depuis longtemps libre de son armure,
De grands ressouvenirs agitent son sommeil.
Il dort environné du royal appareil,
Par les siècles l’ayant gardé sans entamure.
Et sa gloire aujourd’hui qui tombe, moisson mûre,
Nul n’a pu la faucher, du moins...