• Qu'il est doux parfois d'être de ton avis,
    frère aîné, ô mon corps,
    qu'il est doux d'être fort
    de ta force,
    de te sentir feuille, tige, écorce
    et tout ce que tu peux devenir encor,
    toi, si près de l'esprit.

    Toi, si franc, si uni
    dans ta joie manifeste
    d'être cet arbre de gestes
    qui, un instant, ralentit
    les allures célestes
    ...