Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre,
Fuyons ce bord avare et ce peuple inhumain,
Que des dieux irrités la vengeresse main
Ne nous accable encor sous un même tonnerre.
Mars est désenchaîné, le temple de la guerre
Est ouvert à ce coup, le grand prêtre...
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Que dirons-nous, Melin, de cette cour romaine, |
Je n'ai jamais pensé que cette voûte ronde |
Quand cette belle fleur premièrement je vis, |