• Couché sous tes ombrages verts,
    Gastine, je te chante
    Autant que les Grecs, par leurs vers
    La forêt d'Érymanthe :

    Car, malin, celer je ne puis
    À la race future
    De combien obligé je suis
    À ta belle verdure,

    Toi qui, sous l'abri de tes bois,
    Ravi d'esprit m'amuses ;
    Toi qui fais qu'à toutes les fois
    Me répondent les Muses ;...