• A EPHRAÏM MIKHAËL.

    Par les vastes forêts, à l'heure vespérale,
    Les ruisseaux endormeurs modulent leurs sanglots :
    Mon âme s'alanguit d'une horreur sépulcrale
    A l'heure vespérale où murmurent les flots.

    Les ruisseaux endormeurs modulent leurs sanglots
    Sous les feuilles que frôle un vent crépusculaire :
    A l'heure vespérale où murmurent les flots...