• Mon front pâle est sur tes genoux
    Que jonchent des débris de roses ;
    O femme d'automne, aimons-nous
    Avant le glas des temps moroses !

    Oh ! des gestes doux de tes doigts
    Pour calmer l'ennui qui me hante !
    Je rêve à mes aïeux les rois,
    Mais toi, lève les yeux, et chante.

    Berce-moi des dolents refrains
    De ces anciennes cantilènes...