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    Fuyons ! Voici le temps des roses,
    Belle fuyons ! Voici l’été
    Qui sème au seuil des portes closes
    La poussière de la cité.

    Partout où Juillet nous exile,
    Si nous aimons, nous trouverons
    Un peu d’ombre pour notre asile,
    Un reflet d’azur pour nos fronts.

    Allons où le veut la fortune
    De notre insoucieux...