Il est tard ; l’astronome aux veilles obstinées,
Sur sa tour, dans le ciel où meurt le dernier bruit,
Cherche des îles d’or, et, le front dans la nuit,
Regarde à l’infini blanchir des matinées ;
Les mondes fuient pareils à des graines vannées ;
L’épais fourmillement des nébuleuses luit ;
Mais, attentif à l’astre échevelé qu’il suit,
Il le...