Quand pourrai-je, quittant tous les soins inutiles
Et le vulgaire ennui de l'affreuse cité,
Me reconnaître enfin, dans les bois, frais asiles,
Et sur les calmes bords d'un lac plein de clarté ?
Mais plutôt, je voudrais songer sur tes rivages,
Mer, de mes premiers jours berceau délicieux ;
J'écouterai gémir tes mouettes sauvages,
L'écume de tes...