Là-bas, cette existence en noir de grandes vieilles,
Par les enclos en noir et les porches d’église,
Cette existence et de prières et de veilles,
Le soir, sous leurs mantes en noir, qu’immobilise,
Et pendant des heures et des heures, l’extase
Au pied d’un ostensoir...
|
Moines, vos chants du soir roulent parmi leurs râles |