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    C’est toi qui me rends à moi-même ;
    Tu calmes mon cœur agité ;
    Et de ma seule oisiveté
    Tu me fais un bonheur extrême.
     
    Parmi ces bois et ces hameaux
    C’est là que je commence à vivre ;
    Et j’empêcherai de m’y suivre
    Le souvenir de tous mes maux.
     
    Emplois, grandeurs tant désirées,
    J’ai connu vos illusions ;
    ...