Ah ! Mon prince, c’est grand dommage
que vous n’ayez point votre image,
un fils par la gloire animé,
un fils par vous accoutumé
à rogner ce grand héritage
que l’Autriche s’était formé.
Il est doux de se reconnaître
dans sa noble postérité ;
un grand homme en doit faire naître :
voyez comme le roi mon maître
de ce devoir s’est acquitté...