Combien de ports pourtant, et dans ces ports
combien de portes, t'accueillant peut-être.
Combien de fenêtres
d'où l'on voit ta vie et ton effort.
Combien de grains ailés de l'avenir
qui, transportés au gré de la tempête,
un tendre jour de fête
...
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Sanglot, sanglot, pur sanglot ! |
Cela ne te donne-t-il pas le vertige |
Comme tel qui parle de sa mère |
Lampe du soir, ma calme confidente, |
Là, sous la treille, parmi le feuillage |
Ô faisons tout pour cacher son visage |
Cette lumière peut-elle |
I |
Combien a-t-on fait aux fleurs |