• Ce n'est plus moy que veult faire d'un rien grand'chose ;
    Je ne cizelle plus sur l'immortalité
    Le soudain changement d'une vaine beauté,
    Ornant de deshonneur les vers que je compose ;

    Je ne veux plus cacher par la Métamorphose
    Cela qui est mortel dessous la déité,
    Esclavant follement ma douce liberté :
    Pour un malheur subject ma rythme je dispose....