• « Fils, avec le Kourèn ce soir tu partiras :
    Les Tatars ont brûlé sur le Don un village.
    Mais avant, fils, je veux, robuste malgré l’âge,
    Par moi-même éprouver la force de ton bras. »

    La houppe de cheveux flotte sur leur cuir ras,
    Ils déposent leurs peaux de buffle au noir pelage,
    Arrêtent près du camp leur pesant attelage,
    Et, dans la steppe immense...