Tu n'es pas la plus amoureuse
De celles qui m'ont pris ma chair ;
Tu n'es pas la plus savoureuse
De mes femmes de l'autre hiver.
Mais je t'adore tout de même !
D'ailleurs ton corps doux et bénin
A tout, dans son calme suprême,
De si grassement féminin,
De si voluptueux sans phrase,
Depuis les pieds longtemps baisés
Jusqu'à ces yeux...