Tous les fruits du verger ne sont pas mûrs encor,
Mais l’automne apparaît dans les bois jaunes d’or ;
La brume se répand, grise comme la cendre,
Au pied de ce coteau que tu vas redescendre.
Sur la pierre annonçant la moitié du chemin,
Que fait cet homme assis et le front dans sa main ?
Il écoute les voix de la saison extrême
Gémir dans la forêt...