C’EST toujours à vos pieds, Seigneur, que je reviens
Lorsque je souffre trop et que j’ai l’âme triste ;
A votre grâce auguste aucun mal ne résiste :
Vous êtes, ici-bas, le meilleur des soutiens.
Vos deux bras étendus sur la croix disent : Viens !
Oublie, en m’adorant, tout ce monde égoïste
Par qui tant de douleur injustement existe ;
En...