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    PAR la vitre embrasée où meurt le soleil rouge
    Qui rose la blancheur du rideau transparent,
    Je regarde flamber sous l’azur fulgurant
    Un arbre dont la tête à demi-chauve bouge.

    Et dans cette splendeur baignant sa nudité,
    Plein de lumière dont le prisme le colore,
    Magnifique, il a l’air de croître dans l’aurore
    Et de tremper au ciel son vieux...