Absinthe, je t’adore, certes !
Il me semble, quand je te bois,
Humer l’âme des jeunes bois,
Pendant la belle saison verte !

Ton frais parfum me déconcerte.
Et dans ton opale je vois
Des cieux habités autrefois,
Comme par une porte ouverte.

Qu’...

Dieu ! que la France est vaine
Auprès de ces pays !
Et je comprends sans peine
Qu’on les ait envahis.
Les mœurs et les usages
Y sont cent fois plus sages
Que chez nous, Blancs-Visages,
Qu’ils nomment les Oui-ouis.

Là-bas, le mariage
Me...

Dix centimètres ! quelle cuite !
Pourquoi pas trente, tout de suite ?
Pauvre cobaye ! dont la fin
Est de servir l’expérience
De ces messieurs de la science,
Avec son frère le lapin.

Mais, ô savant, que je respecte,
Sache bien que je m’en injecte
...

Vous avez votre absinthe. Il s’agit de la faire.
Ce n’est pas, croyez-moi,
Comme pense un vain peuple, une petite affaire,
...