En vain dans mes transports ta prudence m’arrête ;
Ma mère, il n’est plus temps ; tes pleurs m’ont fait poète !
Si j’ai prié le Ciel de me les révéler,
Ces chants harmonieux, c’est pour te consoler.
D’un tel désir pourquoi me verrais-je punie ?
Les maux que tu...
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Ô désastre ! ô terreur ! effrayante merveille ! |
Déjà mon cœur me quitte, et la mort me réclame, Dès longtemps, tu le sais, ma vie est douloureuse ; |
En vain sur mon malheur, Alfred veut me tromper, |
CHAPITRE PREMIER PORTRAITS UNE AMIE — UN AMANT — UN ONCLE — ET DEUX RIVALES
Elle était mon amie, — et j’aimais à la voir, |
CHAPITRE II
Faire tout pour l’argent — et n’étre point avare ! Chez nous, il n’... |
CHAPITRE III
Elle n’a pu dormir la nuit... Elle a pleuré. Le matin à des soins prudents est consacré ; |
CHAPITRE IV
Voilà, grâces au ciel, mon poème achevé ! |
« Oh! dites-moi pourquoi, ma mère, Pourquoi mon aiguille résiste |
En vain au plaisir qui l’entraine |