• Ô coeur mondain, humaine pensée
    Trop aveuglée, encor plus insensée,
    Sur un appui de petite assurance
    Et fort fragile a mis ton espérance ;
    Tu n'aperçois qu'un chacun temps se passe
    Légèrement et en bien peu d'espace
    Tu n'aperçois temps et siècle tourner
    Par monuments sans jamais retourner.

    Ne vois-tu pas toutes choses finer !

    Et...