Les bois ont dépouillé leur costume. L’été
A dû livrer au vent sa riche broderie,
Et les merles moqueurs, qui sifflaient la féérie,
Ne savent où cacher leur vol vif et heurté.

Voici venir l’hiver, ceint avec majesté
De son brouillard ainsi qu’une draperie.
Il...