J’ai fui ce pénible sommeil
Qu’aucun songe heureux n’accompagne ;
J’ai devancé sur la montagne
Les premiers rayons du soleil.
S’éveillant avec la nature,
Le jeune oiseau chantait sur l’aubépine en fleurs ;
Sa mère lui portait sa douce nourriture ;
Mes yeux se sont mouillés de pleurs !
Oh ! pourquoi n’ai-je pas de mère ?
Pourquoi...