Vents, dénouez mes longs cheveux
Et brûlez-en mes amoureux.
Mouillez mes mains, fraîche rosée,
Et qu’aussitôt mille désirs...
Mouillez mes mains, fraîche rosée, |
LA VIE ARDENTE
Mon cœur, je l’ai rempli du beau tumulte humain. |