• Le soleil de juillet flétrit la marguerite
    Et pèse lourdement au front du bouton d’or.
    La brise au plus profond des bois muets s’abrite :
    Le soleil luit toujours, le soleil luit encor !

    Dans les prés à demi desséchés, rien ne bouge ;
    Pas un bruit n’interrompt le sommeil des échos.
    Les faucheurs sont couchés au bord du sainfoin rouge,
    Marqué de traits...