Sous la tente — ô ma bien-aimée — ce soir je t’attends.
Kérim ! Prends mon étendard et dresse-le en bannière
d’allégresse au plus haut de ma tente.
Combien de lunes se sont-elles inscrites au firmament
depuis que je suis altéré de toi — ô ma bien-...
|
|
|
Quand tu marches — ô Azizé — la gazelle se juge Quand tu souris — ô Azizé — les perles perdent Quand tu... |
Quand tu ouvres la bouche — ô Gul-i-siah — Quand ton haleine m’atteint — ô Gul-i-siah — je Quand tu commences un... |
Un grain de sable dans Sa babouche |
Le rosier s’effeuille sur la vasque,
Le soleil se joue sur la vasque, |