L’aurore a la pâleur verdâtre d’une morte,
Elle semble une frêle et tremblante Alkestis
Qui, les pas vacillants, vient frapper à la porte
Où l’amour l’accueillait en souriant, jadis.
Elle a quitté les flots qui roulent des étoiles,
Les...
L’aurore a la pâleur verdâtre d’une morte,
Elle semble une frêle et tremblante Alkestis
Qui, les pas vacillants, vient frapper à la porte
Où l’amour l’accueillait en souriant, jadis.
Elle a quitté les flots qui roulent des étoiles,
Les...
J’aime la boue humide et triste où se reflète
Le merveilleux frisson des astres, où le soir
Revient se contempler ainsi qu’en un miroir
Qui découvre à demi son image incomplète.
J’aime la boue humide où la Ville inquiète
Détache ses lueurs...