• Ô vous, mauditz sonnetz, vous qui prinstes l'audace
    De toucher à Madame ! ô malings et pervers,
    Des Muses le reproche, et honte de mes vers !
    Si je vous feis jamais, s'il fault que je me face

    Ce tort de confesser vous tenir de ma race,
    Lors, pour vous, les ruisseaux ne furent pas ouverts
    D'Apollon le doré, des Muses aux yeulx verts ;
    Mais vous receut...