• Frère, le temps n’est plus où j’écoutais mon âme
    Se plaindre et soupirer comme une faible femme
    Qui de sa propre voix soi-même s’attendrit,
    Où par des chants de deuil ma lyre intérieure
    Allait multipliant comme un écho qui pleure
              Les angoisses d’un seul esprit.

    Dans l’être universel au lieu de me répandre,
    Pour tout sentir en lui, tout...