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    Quand la lune est au ciel comme l’astre des rêves,
    Que la mer balbutie en dormant sur ses grèves,
    Que des voiles sans bruit glissent le long du bord,
    Que l’aboiement des chiens s’affaiblit et s’endort,
    Et que, sur les flancs noirs des montagnes voilées,
    L’une après l’autre on voit les lampes étoilées
    S’éteindre au souffle humain de maison en maison...