• Quand du sort inhumain les tenailles flambantes
    Du milieu de mon corps tirent cruellement
    Mon coeur qui bat encor' et pousse obstinément,
    Abandonnant le corps, ses plaintes impuissantes,

    Que je sens de douleurs, de peines violentes !
    Mon corps demeure sec, abattu de tourment
    Et le coeur qu'on m'arrache est de mon sentiment,
    Ces parts meurent en moi...